À l’heure de la mondialisation, certains préfèrent acheter local quand ils le peuvent. S’il est difficile de trouver des produits manufacturés fabriqués près de chez soi, pour se nourrir, les citadins se tournent vers les fermes du voisinage. Les Amap (associations pour le maintien d’une agriculture paysanne) remportent un tel succès que certaines d’entre elles ont du mal à répondre à la demande. Comment fonctionnent-elles ? Georgette Korhel, présidente de l’association des amapiens du Golfe (Cogolin) et « consomm’actrice » militante, répond à nos questions.
Les Amap ne concernent que les fruits et légumes.
FAUX. On peut aussi avoir de la viande bovine et ovine, du fromage de chèvre, des œufs, du poisson. Cela dépend du contrat.