Le revenu de solidarité active (RSA) pourrait avoir plus d’"effets pervers" que positifs sur l’emploi, notamment en poussant des femmes à réduire leur temps de travail, voire à cesser de travailler, sauf s’il est accompagné d’autres mesures, selon une étude de l’OFCE publiée le 23 septembre. Si les critiques à l’encontre du RSA portent notamment sur le caractère précaire et à temps partiel des emplois susceptibles d’être créés, "peu soulignent qu’en termes d’emploi, les effets pervers pourraient être plus importants que les effets désirés, engendrant une diminution du nombre d’heures travaillées", note l’Observatoire français des conjonctures économiques.
Pour l’OFCE, le RSA "ne peut avoir un effet incitatif à la reprise d’emploi que dans la mesure où le non-emploi des bénéficiaires de minima sociaux est volontaire". Or, selon une enquête récente de la Dress, 28% seulement des Rmistes ne recherchent pas d’emploi, rappelle l’étude. Notant que "les problèmes de santé, de transport, de gardes d’enfants, le manque de qualification sont des freins au retour à l’emploi au moins aussi importants que le manque d’incitations financières", l’OFCE estime que "l’effet du RSA sur l’emploi des allocataires de minima sociaux pourrait être faible".
Le RSA n’est pas une mesure économique mais une mesure de contrôle social. Il est le moyen de s’approprier la totalité de la vie des personnes précaires qui sont majoritairement des femmes. C’est une mesure qui crée un apartheid : les personnes soumises au RSA n’ont pas les mêmes droits que les autres . Leur vie privée est passées au crible, leurs comptes en banque, leurs dépenses,leurs factures, leurs loisirs leurs activités culturelles leurs modes de vies sont scrutées grà¢ce à une mise en réseau de toutes les données les concernant. Leurs domiciles peut être forcé pour vérifier leur vie sentimentale. Elles sont "mariées de force par la CAF" qui confond mariage pacs et vie sentimentale. Des femmes sont privées de tout revenu sous prétexte d’un délit inventé de toute pièce : fraude et dissimulation de vie maritale !!!! Ces femmes ne sont ni mariées ni pacsées. Leur amants n’ont aucune obligation légale de solidarité envers elles ou leurs enfants. Et pourtant elles sont considérées COMME DES FEMMES MARIÉES !!!! C’est ce qu’on appelle un mariage forcé, qui précarisent les femmes et les met en grave danger. Il faut individualiser les minima sociaux et les rendre inconditionnels pour garantir aux femmes la liberté de leur vie privée !!!!