Nous vous l’annoncions dès avant l’été, la CPCA lance le 28/10 avec le CNAM une enquête nationale de grande ampleur visant à établir un état des lieux dynamique de la diversité des pratiques et situations de gouvernance associative. Cette enquête devrait nous permettre de valoriser les spécificités managériales associatives dans l’élaboration et la conduite d’un projet d’intérêt général (organisation et mise en œuvre démocratique du projet, mixité des ressources financières et humaines, ancrage territorial, etc.). Plus nous aurons de répondants, plus les résultats seront sérieux et nous permettront d’envisager des exploitations sectorielles et régionales. Aussi, dès le 28 octobre, nous comptons sur vous : visitez et diffusez l’adresse http://gouvernance.cpca.asso.fr/
Mais le 28 octobre c’est aussi le 5e Forum National des Associations et des Fondations. Cette année encore, la CPCA participe à ce rendez-vous majeur des responsables et dirigeants associatifs. Vous trouverez dans cette lettre un formulaire d’inscription gratuit et le lien vers le programme complet de la journée. A noter : la plénière d’ouverture sur la réforme des collectivités territoriales qui devrait nous permettre de prolonger la réflexion menée le 30 septembre dernier à l’occasion de notre journée d’échanges sur le sujet. Vous trouverez également dans cette lettre les interviews vidéos des intervenants à cette journée.
Nous terminons donc ce mois d’octobre sur une note très associative en attendant de vous retrouver en novembre, au cœur du mois de l’économie sociale et solidaire dont le coup d’envoi a été lancé mardi 19 octobre dernier en présence de Marc-Philippe Daubresse et de Francis Vercamer. Nous vous présentons dans cette lettre le premier train de mesures annoncées à cette occasion pour l’économie sociale et solidaire au titre desquelles, la réunion mardi 26 octobre du Conseil supérieur de l’économie sociale et solidaire (CSESS).
La CPCA se réjouit de la revitalisation de cette instance mais regrette que les représentants de l’économie sociale et solidaire n’y soient plus désignés par le CEGES mais directement par le Ministre. Cette décision ne va pas dans le sens d’une auto-organisation du secteur. Nous regrettons également que le Conseil économique, social et environnemental (CESE) ne puisse plus y désigner un représentant de l’économie sociale. Ce qui est, à nos yeux, un recul.