Il existe deux manières de penser l’avenir : la prospective et l’utopie. La plus sérieuse n’est pas nécessairement celle qu’on croit.
« Je m’intéresse beaucoup à l’avenir, car c’est là que j’ai décidé de passer le restant de mes jours », confie Woody Allen. On ne peut qu’approuver cette sagesse. Chacun, à tout âge, devrait se sentir concerné par ses futurs possibles. Et prendre le temps de se poser régulièrement ces questions, à titre personnel et collectif : « Qu’est-il permis d’espérer ? Comment s’y préparer au mieux ? »