Consultation de la Commission Européenne sur les principes pour améliorer la gouvernance d’entreprise : Réponse commune du Crédit Agricole, du Groupe BPCE (Caisse d’Epargne, banques populaires) et du Crédit Mutuel

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Consultation de la Commission Européenne sur les principes pour améliorer la gouvernance d'entreprise : Réponse commune du Crédit Agricole, du Groupe BPCE (Caisse d'Epargne, banques populaires) et du Crédit Mutuel

La présente réponse est commune aux trois groupes bancaires coopératifs français. Elle est
indépendante et complémentaire aux réponses qui sont faites, à titre individuel, par chaque
signataire.

Introduction

Les banques coopératives jouent un rôle fondamental dans le financement de l’économie
européenne, reconnu par la Commission européenne1. En Europe, on compte 4 200 banques
coopératives, qui occupent une part de marché d’environ 20 %. En France, elles représentent
près des 2/3 de l’activité de banque de détail et jouent un rôle irremplaçable de proximité avec
leurs clients et leurs territoires. Parmi les clients des banques coopératives françaises, plus de
vingt millions sont sociétaires et participent ainsi directement2 à la gouvernance de ces
établissements.

Les sociétés coopératives se sont initialement constituées en associant leurs membres autour
d’un projet collectif pour répondre à des besoins économiques non satisfaits dans des
domaines d’activité très variés (coopératives agricoles, de logement, de production, de
consommation, de commerce ou d’artisanat).

Réponse commune du Crédit Agricole, du Groupe BPCE (Caisse d’Epargne, banques populaires) et du Crédit Mutuel

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