Greenpeace prend acte, et se réjouit, de la déclaration du ministre Jean-Louis Borloo appelant à "faire une pause" dans le développement des agrocarburants dits de première génération.
Après les doutes exprimés par le gouvernement britannique, la volte-face allemande sur son plan éthanol, et l’avis négatif de l’agence européenne de l’environnement, il est heureux que le gouvernement français se rende enfin à la raison scientifique, qui établit que le développement des agrocarburants pose davantage de problèmes environnementaux et sociaux qu’il n’apporte de solution au réchauffement climatique.