A l’occasion de la journée mondiale de l’environnement et à la veille du sommet du G8 Greenpeace demande à la présidente du G8, Angela Merkel de s’assurer que les pays du G8 acceptent leur responsabilité dans le changement climatique et jouent un rôle prédominant dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Indépendamment de l’issue de la réunion de demain entre Merkel et Bush, les autres pays du G8 doivent agir maintenant et de façon décisive. Ils doivent s’accorder à réduire de 50% les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050, par rapport aux niveaux de 1990, ainsi que la science l’exige. Merkel avait précédemment qualifié ces objectifs de ’non négociables’, et elle doit maintenant s’y tenir.