Dans la tuyauterie d’internet

Publié le

Dans la tuyauterie d'internet

Si internet était un pays, il serait le troisième plus gros consommateur d’énergie de la planète, d’après Greenpeace, derrière les États-Unis et la Chine. Car pour fonctionner, la toile a besoin d’infrastructures colossales : câbles sous-marins, data centers et serveurs par millions.

Oubliez le satellite, le sans-fil ou le "cloud" : dans sa réalité matérielle, internet est avant tout une histoire de câbles interminables et de vastes bâtiments remplis de fibres et de serveurs. Ces infrastructures pas du tout virtuelles s’étendent sous les mers, sur terre, prennent de la place et consomment de l’énergie. Du navire câblier qui dépose la fibre au fond des océans au data center qui héberge nos données, le numérique offre aussi une face visible et palpable mais trop souvent méconnue. Ce reportage nous emmène à Brest, Marseille, Paris et sur le plateau de Saclay à la découverte de ces briques essentielles sans lesquelles internet n’existerait pas.

Source : France inter du 20/09/19 par Aurélie Kieffer et Maxime Tellier

Autres articles dans cette rubrique

Déclin du nombres de fermes : Greenpeace appelle les États européens à accompagner en priorité les agriculteurs les plus en difficulté

Une analyse publiée aujourd’hui par l’unité européenne de Greenpeace montre que les disparités économiques se creusent entre les petites fermes et les méga-exploitations, condamnant de nombreuses fermes...

Projet de loi d’accélération du nucléaire : fin de parcours législatif pour une loi hors-sol

Alors que le projet de loi d’accélération du nucléaire arrive demain à l’Assemblée nationale pour un ultime vote des député·es, le Réseau "Sortir du nucléaire" et Greenpeace France dénoncent le passage en...

close