Le procès relatif aux soupçons de financements libyens de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy se poursuit devant le tribunal, et met en lumière le rôle présumé de plusieurs entreprises, notamment Amesys et Airbus. Pour Sherpa, partie civile depuis 2013, ce procès soulève des interrogations profondes sur la responsabilité des acteurs économiques dans les affaires de corruption transnationale et leur collusion avec le politique. Amesys et les technologies au service de la répression Le (...)
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