Le combat judiciaire engagé par les associations afin d’obliger la société Bolloré à remédier aux violations de droits humains dénoncées dans le cadre des activités de la filiale camerounaise Socapalm se poursuit. Les juges d’appel tranchent de nouveau en faveur des associations ; un pas de plus pour les victimes. En 2010, Sherpa avait saisi le mécanisme de recours amiable de l’OCDE (Point de Contact National, PCN) au sujet des activités de la Socapalm – la palmeraie camerounaise indirectement détenue (...)
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