Dans le débat présidentiel, la CG Scop fait valoir les nombreux atouts du modèle coopératif avec en premier lieu la création et le développement d’entreprises : « 300 Scop et Scic sont créées chaque année ». Autre atout : la transmission de PME aux salariés grâce à l’accompagnement des unions régionales « pour éviter de trop nombreuses fermetures d’entreprises ».
La Confédération met aussi en avant l’évolution des parcours professionnels et la force du modèle des Scop et Scic pour les parcours de formation pouvant aller jusqu’à la direction de l’entreprise. Enfin, elle avance l’idée que l’innovation sociale est au service du développement économique et que Scop et Scic apportent des solutions nouvelles à l’économie numérique « avec des plateformes coopératives respectueuses de l’intérêt des utilisateurs et des travailleurs » ou à la transition énergétique, « par le développement d’offres d’électricité renouvelable avec l’implication des citoyens producteurs/consommateurs ».