En lien avec Oxfam International et l’ensemble de ses affiliés, Oxfam France - Agir ici vous invite à interpeller le directeur général du FMI et les dirigeants des pays donateurs afin qu’ils interviennent en faveur de l’annulation de la dette de Haïti.
En Haïti, la principale préoccupation dans l’immédiat est d’acheminer des secours après la catastrophe humanitaire causée par le tremblement de terre du 12 janvier. C’est notamment ce à quoi s’attellent les équipes d’Oxfam International qui travaillent sur place.
Aà®e - comment interpréter alors, les paroles du "premier ministre haà¯tien, Jean-Max Bellerive, estimant lui-même que ce [la question de la dette d’Haà¯ti ] n’était "certainement pas le principal". "La dette haà¯tienne est supportable, le plus gros de l’annulation est déjà fait", a-t-il ajouté." puis, dit l’article, selon "d’autres observateurs, une annulation de sa dette pourrait embarrasser Haà¯ti en lui compliquant, à l’avenir, l’accès à de nouveaux crédits. "
Peut-être faut-il comprendre que a) la dette d’Haiti n’est qu’un des aspects de la crise structurelle de ce pays, auquel s’ajoute le cataclysme tectonique, après le climatique b) mobiliser l’opinion occidentale contre le crédit (et notamment les prêteurs, publics et privés, surtout affluents, le Vénézuela étant un premier créancier qui détonne) est relativement faisable (désormais fait), alors que le Premier ministre de ce pays semblait craindre que à§a nuise à son pays et son peuple...comment est-ce possible ?