Des analyses menées par Greenpeace montrent la présence de substances toxiques dans le sang du cordon ombilical.
Nous les avons détectées dans l’environnement et dans la faune sauvage des espaces les plus reculés, retrouvées dans l’eau de pluie et les poussières domestiques, quantifiées dans les produits de consommation et mesurées dans le sang de citoyens adultes. Aujourd’hui, c’est la transmission de ces substances chimiques dangereuses de la mère à l’enfant que Greenpeace met en évidence dans un nouveau rapport scientifique commentant des analyses confiées au laboratoire TNO.
Muscs artificiels des parfums, alkylphénols des détergents, bisphénol-A des plastiques en polycarbonate, retardateurs de flamme bromés des circuits électroniques, composés perfluorés des poêles en téflon, phtalates des plastiques en PVC, triclosan des dentifrices, tous sont susceptibles de terminer leur parcours polluant dans le corps d’une future maman qui à son tour les transmet à son enfant via le cordon ombilical.
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