L’affaire SeaFrance vient de faire connaître pendant un mois le statut Scop à tous les français. Quelle que soit l’issue du projet, celui-ci a constitué une exceptionnelle opportunité pour la Confédération générale des Sociétés coopératives et participatives de prendre la parole sur le plan médiatique. Les médias ont en effet donné un large écho de la réalité des Scop : des entreprises qui réussissent économiquement et humainement, inscrivent leur projet dans la durée, subissent la crise mais trouvent dans le statut Scop des atouts spécifiques qui leur permettent de résister plutôt mieux que les entreprises classiques, notamment parce que les salariés sont majoritaires et participent aux grandes décisions.
La campagne publicitaire qui démarre fin janvier autour du Salon des Entrepreneurs de Paris, apporte à sa manière la preuve de cette réalité.