Quatre points forts ressortent :
une organisation spécifique basée sur la complémentarité militants/salariés,
une recherche d’équilibre entre les valeurs éthiques et efficacité économique,
une identité forte à partir de la qualité. par exemple le budget formation est quatre fois supérieur aux obligations légales,
une nécessité d’innover et de développer des pratiques pour la préservation de l’environnement.
"Nous entrons dans l’ère de l’entreprise socialement responsable" prédit Dominique Bé de la Commission européenne. "Le système anglo-saxon qui donne tout pouvoir aux actionnaires, a montré ces limites et doit s’effacer au profit d’un mode de gouvernance ouvert aux parties prenantes".
La MAIF a invité ses parties prenantes à s’exprimer et à débattre sur ses pratiques économiques, sociétes et environnementales et ce, à échéance régulière. La base des débats est formée par une série de questionnaires et portant sur tous les aspects de l’activité de la mutuelle. L’examen des réponses par un auditeur externe permet de mettre en exergue les points de convergence et de divergence, les certitudes et les doutes, "ce qui va bien " et "ce qui ne va pas bien".