Et on peut aisément prédire qu’il en sera ainsi jusqu’à l’échéance, probablement au mois de juin prochain. Du coup, si bien des voix se font entendre, parmi les socialistes, mais aussi à l’UDF, pour inviter le gouvernement à lâcher du lest sur le terrain social, c’est surtout par crainte de voir le mécontentement gonfler les rangs du « non ».
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