Elle vise à rassembler des fonds pour racheter une partie du club principautaire.
C’est devant notaire que la société coopérative a été portée sur les fonts baptismaux. Voici quelques mois une dizaine d’amoureux du Standard avaient lancé l’idée de créer cette société de socios en vue de racheter une partie du club principautaire.
"Nous avions alors créé une asbl", explique Pierre Eyben, futur administrateur-délégué de la société coopérative à finalité sociale. "Le but de cette association était de récolter un peu d’argent pour pouvoir faire face aux dépenses liées à la création de la coopérative. Mille personnes avaient versé 10 €. Dans la foulée, 5.000 personnes avaient trouvé que notre idée était bonne."