Economie sociale et solidaire : "Evitons le syndrome Restos du Coeur"

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Economie sociale et solidaire : "Evitons le syndrome Restos du Coeur"

Après la présentation par Benoît Hamon de la loi sur l’économie sociale et solidaire, les réactions se succèdent. En référence à Coluche, Jean-Michel Pasquier, dirigeant de Koeo, estime que "l’ESS aura gagné quand on n’en parlera plus".

Coluche l’avait dit dès le début de l’aventure des Restos du Coeur en 1985 : "On aura gagné quand les Restos n’existeront plus". Autant dire que presque 30 ans plus tard, son souhait est loin d’avoir été exaucé, même si son intuition humaniste reste heureusement vivace pour apporter un soutien tellement vital à des bénéficiaires dont le nombre croît année après année.

On pourrait paraphraser Coluche à propos de l’ESS : l’économie sociale et solidaire aura gagné quand on n’en parlera plus. Pourquoi ? Tout simplement parce que ses vertus intrinsèques de gouvernance, de partage équitable, de production raisonnée, d’utilité sociétale, et parfois sociale, auront peu à peu imprégné l’économie toute entière.

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