Une disposition conçue pour que les mutuelles et les assureurs privés participent à la régulation des dépenses. La gauche y voit le prélude à la privatisation du risque santé. « Il n’est pas besoin aux compagnies d’assurances de faire du lobbying en matière de santé, estime Gérard Bapt (PS, Haute-Garonne).
PS-Mutualité : un couple en mauvaise santé
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