Les mutilations génitales féminines (MGF) consistent à couper et/ou ôter tout ou partie des organes génitaux externes de la femme à des fins non médicales. Cette pratique est considérée comme une violation des droits humains et s’apparente à de la torture.
En Europe, on estime à 500 000 le nombre de femmes et de jeunes filles qui souffriront toute leur vie des conséquences des mutilations génitales. Chaque année, 180 000 femmes et jeunes filles risquent de subir cette pratique.
Chacune des cinq histoires ci-dessous témoigne des difficultés que rencontrent les femmes et les jeunes filles qui ont été soumises aux mutilations génitales et rappelle le rôle que doit jouer l’Union européenne pour mettre un terme à cette violation des droits humains.