A quand la fin de la "flemme olympique" ?
Bien sûr, ce n’était pas un relais « officiel », mais cette opération aura tout de même permis de faire figurer les droits de l’homme au travail sur le devant de la scène.
Aujourd’hui, De l’éthique sur l’étiquette attend de tous ceux qui jouent un rôle dans les Jeux Olympiques, qu’ils changent d’attitude. Comité international olympique (CIO), industrie du sport et grande distribution, doivent replacer les droits humains -au moins- au même niveau que les valeurs sportives, mais surtout au-dessus des intérêts économiques.
Ils doivent assumer enfin leur responsabilité sociale, en lien avec avec les autres acteurs concernés par les conditions de travail dans l’industrie du sport : associations, syndicats, consommateurs, états...
Pour en savoir plus :
Consultez le dossier de presse du 21 juin 2004 sur www.ethique-sur-etiquette.org (accès "médias").
Demandez à rencontrer monsieur Sedat KAYA (en France jusqu’au 29 juin), co-auteur du rapport sur les violations des droits de l’homme dans l’industrie du sport « Jouez le jeu pour les JO », publié le 9 mars dernier, qui travaille dans un syndicat turc du textile et de l’habillement.
Consultez l’échantillon de photos de la manifestive sur www.ethique-sur-etiquette.org (accès "médias"). Également disponibles en haute définition (sur demande).