Ils sont sociétaires, clients, salariés, élus locaux, parlementaires, syndicalistes et partagent tous la même préoccupation : essayer de préserver ce qui, pour eux, fait la force de Coop Alsace, à savoir « une vision d’une économie solidaire, participative et populaire ».
Quelque 70 personnes, décidées à agir dans ce sens, se sont retrouvées hier soir à la salle des fêtes de Reichstett. Pour donner une existence légale à l’Association de soutien aux Coop d’Alsace créée par Philippe Spitz et coprésidée par les députés Jean-Louis Christ et Armand Jung (voir DNA du 29 novembre 2011) et pour réfléchir à « des solutions susceptibles de pérenniser » la première entreprise privée d’Alsace aujourd’hui en grande difficulté, ses 3 500 salariés et ses 180 magasins de proximité.