Nous le savons, le logiciel libre tient souvent du bon sens. Et nombreux sont ceux qui, lorsqu’ils le découvrent, ne peuvent s’empêcher de laisser échapper un « bon sang mais c’est bien sûr ! » qui résume assez bien le choc de la rencontre
Le problème c’est qu’il y avait une vie avant le logiciel libre (si, si, je vous assure). Une vie avec ses us et coutumes qui ne s’accommode pas toujours forcément très bien de ce nouvel objet mutant, fut-il virtuel. Une vie qui d’ailleurs n’avait pas toujours fait du bon sens sa première vertu.
Du coup on se retrouve dans une situation quelque part paradoxale où ce qui semble « naturel » doit être au mieux maintes fois explicité et au pire âprement défendu pour d’abord se donner le droit d’exister puis ensuite se donner les moyens de se développer et s’épanouir.