Du 5 au 9 février, l’Adie et ses partenaires organisent, partout en France des événements d’information pour rendre l’entrepreneuriat accessible pour tous.
Dans un contexte de préparation de textes porteurs de transformations importantes pour l’avenir des entrepreneurs, l’Adie entend également plus que jamais les accompagner et prendre en compte leur parole.
UNE SEMAINE POUR ÉCOUTER ET RÉPONDRE AUX QUESTIONNEMENTS DES ENTREPRENEURS
Plus de la moitié des créateurs d’entreprise en France se lancent avec moins de 8 000 euros.
Et parmi les entrepreneurs financés par l’Adie, plus de 40% étaient au RSA avant de se lancer. Ces entrepreneurs, qui créent 1,3 emploi en moyenne, contribuent à dynamiser le tissu économique au sein des territoires.
Alors que les pouvoirs publics envisagent des réformes profondes quant au régime social, à l’assurance chômage et à l’accès à la formation des entrepreneurs, l’Adie recensera et répondra aux questions des porteurs de projets.
Ce faisant, l’association entend veiller à la prise en compte des problématiques spécifiques des créateurs d’entreprise qu’elle soutient au quotidien.
UNE SEMAINE POUR LIBÉRER LA CRÉATION D’ENTREPRISE POUR TOUS
Depuis 30 ans, l’Adie permet à plus 15 000 personnes comme Sabrina, Christophe et Mayannick - les 3 entrepreneurs qui ont prêté leur image à la campagne « Elle lui a dit oui, et leur vie a changé » - de transformer un « non » en « oui » et de donner vie à leurs projets.
Parce que l’Adie croit fermement en la nécessité de rendre la création d’entreprise accessible à tous, l’association et ses partenaires donnent rendez-vous, du 5 au 9 février, à celles et ceux qui, bien que n’ayant pas accès au crédit bancaire, souhaitent changer de vie en créant une entreprise.
Lors des centaines d’événements organisés partout en France et sur les réseaux sociaux, l’Adie informera le public pour lever les freins et favoriser l’éclosion de ces projets d’activité, qui sont autant de projets de vie.
Bonjour,
Je suis à lyon, et suis impatiente de rencontrer l’équipe de l’adie !
Cordialement,
Anne