Grande étude nationale sur les relations entre les associations et les pouvoirs publics

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Grande étude nationale sur les relations entre les associations et les pouvoirs publics

Le CAC s’associe à cette initiative, coordonnée par l’équipe du projet « Libertés associatives et initiatives citoyennes » (dont le CAC est partie prenante) et soutenue par l’Agence nationale de la recherche, en concertation avec les principales têtes de réseaux associatives.

Pour la première fois, une équipe de recherche mène une étude d’ampleur nationale pour analyser les relations entre associations et pouvoirs publics : Quel est l’état des relations entre monde associatif et pouvoirs publics ? Quelles sont les conditions de leur coopération ? Quelles sont les limites et difficultés rencontrées par les associations ? En quoi l’état de ces relations influe-t-il sur les libertés associatives ? Comment a été vécue la création du Contrat d’engagement républicain (CER) ?

Le monde associatif français, riche de plus d’un million d’associations et de millions de contributions bénévoles et salariées, prend en charge des pans entiers de l’intérêt général, nourrit la cohésion sociale, accompagne les grandes mutations sociétales, et contribue activement à la vitalité démocratique. Pourtant, son rôle et ses contributions font depuis quelques années l’objet d’intenses discussions, tandis que ses financements et son encadrement règlementaire évoluent.

Cette étude d’une ampleur inédite permettra d’éclairer la question structurante que constitue l’état des relations entre monde associatif et pouvoirs publics.

Cette étude d’ampleur est menée par l’Observatoire des Libertés Associatives en partenariat avec, côté associatif : le Collectif des Associations Citoyennes ; la Coordination Pas sans Nous ; l’Institut Alinsky ; la Fonda ; l’INJEP ; le Mouvement associatif ; le Réseau National des Maisons des Associations - et côté recherche : ANR, CERAPS et CNRS.

Le questionnaire s’adresse à l’ensemble du monde associatif : les associations de toute taille, secteur d’activités, et implantation géographique, avec ou sans salariés, ainsi que les associations de fait et les collectifs informels, sont invités à répondre. Il doit être rempli par un-e reponsable associatif-ve (directeur-rice ou président-e dans le cas d’une association formelle). Afin de pouvoir aboutir à des résultats riches et représentatifs, plus d’un millier de réponses doivent être réunies. Alors répondons au questionnaire et relayons-le largement avant le 15 novembre 2024.

Et ensuite ? Les premiers résultats de l’analyse seront rendus publics au printemps 2025.

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