Parmi les start-up parisiennes, les structures de l’économie sociale et solidaire représentent 15% des créations, mais elles ont parfois du mal à lever des fonds. Pourtant en suivant certains conseils efficaces, ces investissements s’avèrent efficaces.
L’entrepreneuriat social et environnemental a le vent en poupe. Conséquence de la loi Hamon sur l’Economie sociale et solidaire (ESS) ou ricochet de la COP21 ? De nombreux entrepreneurs, soucieux de donner un sens à leur travail se lancent dans ce secteur de l’économie, des jeunes idéalistes aux quadras qui ont roulé leur bosse dans des entreprises traditionnelles. "Dans le milieu des start-up parisiennes, ces structures représentent 15% à 20% des créations", assure Antoinette Guhl, adjointe à la mairie de Paris en charge de l’ESS. Les structures d’encadrement fleurissent dans la capitale : Make Sense, un incubateur nouvelle génération, l’espace de coworking La Ruche, le Comptoir de l’innovation ou encore l’hôtel d’entreprises le Lutess. Make Sense, le plus récent, tient lieu à la fois d’incubateur et de réseau d’entrepreneurs sociaux.