Les mots sont des enjeux de sens et situent un débat, particulièrement dans le cas du "tiers secteur". Je ne crois pas en l’occurrence que cette expression serve la cause essentielle qu’elle voudrait promouvoir. Une première réserve, assez largement partagée, stigmatise ce label passéiste d’un secteur que l’on veut pourtant d’avenir et son caractère "fourre-tout" qui le définit moins par sa propre identité que par ce qu’il n’est pas, c’est-à-dire par opposition au marché et au service public. De plus le tiers, c’est toujours l’étranger, le déshérité, en un mot le tiers exclu.
Du tiers secteur à l’économie quaternaire
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