Dossier "Apprendre à coopérer" de Sciences Humaines

Publié le

Dossier "Apprendre à coopérer" de Sciences Humaines

L’espèce humaine est sans doute la plus coopérative de toutes. Mais diriez-vous d’un esclave qu’il coopère avec son maître ? Sans doute pas. Il travaille pour lui dans les strictes limites de ses obligations.

Coopérer, ce n’est pas seulement se soumettre aux ordres, échanger des services ou partager des tâches : c’est le faire librement et avoir un but commun. « Coopérer, souligne Benoît Dubreuil, suppose que l’on aurait aussi de bonnes raisons de ne pas le faire. » C’est sans doute pourquoi il n’est pas si facile d’y arriver. La poursuite des intérêts légitimes de chacun est aussi la plus ordinaire des libertés. Dans le couple comme entre internautes, à l’école comme au travail, entre personnes comme entre pays, instaurer la coopération est un problème. Y parvient-on mieux avec l’aide d’un idéal commun, d’un bénéfice collectif ou d’un surcroît de règles ?

Source : Sciences Humaines par Nicolas Journet

Autres articles dans cette rubrique

JO Paris 2024 : faire gagner les champions d’une économie inclusive, sociale et solidaire

Pour réussir le pari des premiers Jeux Olympiques et Paralympiques écologiques, inclusifs et solidaires, la France et son formidable réseau d’acteurs de l’économie sociale et solidaire doivent dès...

Les Assises de L’Économie Sociale & Solidaire "À la croisée des chemins… Résilience, transition, vigilance"

Dans une période complexe où la une crise sanitaire bouscule et appelle un véritable changement de paradigme, l’Economie Sociale et Solidaire demeure une réponse visionnaire face aux déséquilibres...

Meet-up "Entreprises et acteurs de l’économie sociale et solidaire"

La Ville de Nanterre, en partenariat avec le Crédit Coopératif, vous invite à  une matinée d’échanges  et de sourcing le mardi 16 novembre, dans le cadre du Mois de l’ESS.  De 9 à 12h30 au siège du Crédit...

close