Ce dossier est d’autant plus crucial qu’EDF et Areva sont engagés dans un processus d’ouverture de capital qui va accentuer le risque sur le financement de l’héritage nucléaire.
Pour Greenpeace, si la gestion des déchets nucléaires et du démantèlement revêt des risques sanitaires et environnementaux, elle revêt aussi des risques économiques et financiers.
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