Depuis notre précédent congrès en 2005, on ne peut pas dire une fois de plus que les choses se soient arrangées pour les chômeurs et plus généralement pour les précaires et les salariés. Bien au contraire y compris pour la grande majorité de la population, à l’exception de quelques grands patrons et autres actionnaires qui ont, eux, vu leurs revenus augmenter parfois dans des proportions très importantes. Ce congrès va nous permettre de réunir environ 100 délégué(e)s qui durant ces trois jours vont témoigner, se projeter dans , élaborer des moyens d’actions et de résistance et donc reprendre de l’espoir.
C’est l’occasion de mettre ensemble des femmes et des hommes, survivant parfois dans des conditions scandaleuses, sans droits mais également sans rôle ni place. Pour permettre que 100 chômeurs et précaires puissent exercer leur citoyenneté et leur activité militante, je participe financièrement pour aider un ou plusieurs délégués à venir au congrès de l’Apeis.