Les réseaux sociaux sont l’illustration même de l’esprit collaboratif qui est définit par le Web 2.0, où les maîtres mots sont : mutualisation, partage et échange (on pourrait même rajouter instantanéité). Si au quotidien c’est pratique, au niveau professionnel ça l’est tout autant, il est presque devenu compliqué de faire ça, en particulier dans un secteur comme celui de l’ESS, en mouvement perpétuel.
« Il y a deux intérêts principaux à l’utilisation des réseaux sociaux : la diffusion et l’information. » Anne Le Pochat, responsable promotion/ sensibilisation au CRESS (chambre régionale de l’économie sociale et solidaire Pays de la Loire). En effet, les réseaux sociaux sont des outils qui permettent de diffuser très largement les informations, les actualités, les événements et les articles que l’on souhaite. « On partage l’information aux concernés mais aussi aux intéressés et aux autres, car ils n’est plus à prouver maintenant que les retombées en terme de partage vont bien au-delà de nos abonnés, qui rien que par la consultation, diffuse l’information à leurs connaissances » .
« Des informations fraîches et pertinentes »
Sophie Roux, chargée de communication aux adhérents à Uniformation confie que : « se positionner et être reconnu comme un acteur de l’ESS, est essentiel au niveau interne comme au niveau externe car cela prouve que nous sommes influents et que nous relayons des informations fraîches et pertinentes, qui répondent aux attentes de notre lectorat. Nous sommes alors considéré comme un membre à part entière de la communauté de l’économie sociale et solidaire ».
« Développer et asseoir sa présence en ligne »
C’est également une source d’information par et pour les autres acteurs de l’ESS, avec qui, sans les réseaux sociaux le partage et l’échange aurait été quasiment impossible. « Chacun agit comme un maillon de la chaîne de l’information dans sa spécialité. C’est une réelle mutualisation des informations et des connaissances », conclut Anne Le Pochat. Et puis la finalité pour les acteurs de l’ESS comme pour n’importe quelle structure reste de « développer et asseoir sa présence en ligne » avoue Sophie Roux.