Il apparaît que la diminution de la pauvreté va de pair avec l’offre des biens et des services en quantité et en qualité suffisantes à des prix et à des coûts supportables par le plus grand nombre. Cela suppose d’améliorer les revenus des plus pauvres. De plus en plus, les études s’organisent sur le principe d’interdisciplinarité qui semble désormais systématiquement appliqué. C’est dans ce contexte que « l’économie solidaire » prend tout son sens. Par la création de services de crédit et d’épargne dits « solidaire », elle tente d’apporter une aide tant économique que sociale aux populations défavorisées. C’est un nouveau regard suscitant l’espoir pour les populations pauvres de rompre avec la spirale des crises et de la paupérisation.
Cet ouvrage, souligne que la notion de « développement » est multidimensionnelle et complexe, mais montre surtout combien le dialogue entre les disciplines est aujourd’hui indispensable.