La crise financière a révélé la fracture croissante d’une économie globale de plus en plus déconnectée du social. La dérégulation, comme la pratique d’entreprises multinationales ont des impacts majeurs pour les pays les moins avancés notamment pour des groupes entiers de la population. A cette crise, s’ajoute une crise écologique qui montre les limites des modes de production et de consommation.
De nouveaux discours apparaissent qui teintent de vert la croissance et veulent la qualifier d’inclusive. Les entreprises sont soumises à un devoir de moralisation en adoptant des démarches répondant à la responsabilité sociale et environnementale.