Dominique Balmary, président de l’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (UNIOPSS), qui fédère 25 000 établissements privés non lucratifs du secteur sanitaire et social, fait le point sur les réformes engagées un an après l’arrivée de la nouvelle majorité au pouvoir.
La Croix : Pendant la campagne présidentielle, l’Uniopss avait lancé une plate-forme pour interpeller les candidats sur les attentes des associations. Avez-vous le sentiment d’avoir été entendu par le nouveau gouvernement ?
Dominique Balmary : La qualité de la relation entre les associations et les pouvoirs publics s’est améliorée. Les organisations non-lucratives sont très souvent consultées.