Aujourd’hui sort le rapport "Industrie française et chimie durable : les bénéfices du développement propre" commandité par Greenpeace France aux économistes américains Frank Ackerman et Rachel Massey de l’université Tufts de Boston. Ce rapport a été présenté par Frank Ackerman aux décideurs et au public français, les 18, 19 et 20 octobre, respectivement à l’Assemblée Nationale, au Parlement européen et à la Bourse du travail de Lyon lors de conférences associant Greenpeace France et la Confédération Générale du Travail.
En mars 2005, Greenpeace avait déjà démontré l’intérêt sociétal et socio-économique de la substitution lors d’un atelier où intervenaient des industries pro-REACH . Avec cette nouvelle étude, Greenpeace se penche sur l’état de l’industrie chimique française, son contexte socio-économique, les défis indispensables de substitution de substances dangereuses ainsi que les arguments avancés par l’Union des Industries Chimiques (UIC) pour affaiblir REACH et diminuer la portée contraignante de cette législation.