Juste avant sa démission, le gouvernement Barnier préparait un décret qui aurait pu représenter une avancée dans la qualité d’accueil en réformant le statut des micro-crèches. Il proposait enfin d’aligner ces structures sur les petites crèches (13 à 24 places) avec des exigences minimales, telles que : la présence obligatoire d’au moins un·e professionnel·le diplômé·e auprès des enfants ; des critères de direction des micro-crèches relevant du droit commun ; des normes d’encadrement à l’extérieur d’une (...)
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