Chacun se souvient du mouvement de grève initié par 500 travailleur·es sans papiers, le 17 octobre dernier. Après quelques jours d’occupation des locaux des entreprises ou des agences d’intérim qui les employaient, toutes et tous avaient gagné les promesses d’embauche nécessaires à leur régularisation, la grève et les actions syndicales se poursuivant durant de longues semaines, pour obtenir des engagements du ministère de l’Intérieur sur les modalités de leur régularisation. Aujourd’hui, alors que la (...)
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