Leader mondial du commerce équitable, Max Havelaar prétend répondre à une demande de consommation « différente » placée sous le signe de la solidarité entre consommateurs du Nord et petits producteurs du Sud. Toutefois, l’entreprise semble effectuer un tournant « pragmatique » en se liant à de grands groupes très éloignés de ses préoccupations d’origine. Il n’est pas certain que les producteurs et les citoyens s’y retrouvent.
Comment apporter aux petits paysans pauvres un revenu qui leur permette de prendre en charge leurs besoins fondamentaux, de préserver leur environnement et de fonder des relations humaines sur d’autres valeurs que celles prônées par le « tout libéralisme » planétaire ? C’est lors de la première Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), en 1964, que l’idée « Trade not aid ! » (« le commerce, pas l’aide ») donne naissance au commerce équitable. Jusque-là réservée à une clientèle d’initiés, la vieille idée d’une relation plus juste entre le Nord et le Sud se popularise alors auprès d’un public que l’on qualifie volontiers d’« alterconsommateur ».
ancienne adh ARTiSANS du MONDE : c’est qu’1 LABEL & organisme contrôles, pas 1 marque ni 1 procédé commercial !
quelle honte à ce que Mr Dupont lui aussi achète & participe par son supermarché ?
Il est temps q nous pensions l’intérêt petits producteurs ki demandent ka être plus nombreux & bénéficier primes Label pour projets de développement local !
C quoi ce procés d’intention ? Ki est derrière tout à§a ?
Hé hé ! La concurrence peut-être, non ?
J’ai rencontré 1 product de Bolivie café en 2006 : sac 50 Kg = 15 E entre Equitable et Bio au lieu de 5 E par les autres.
www.maxhavelaar-france.com, ou 1 truc ds le genre, contrôlez !