Macadam, plus on le lit et moins on le piétine

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Macadam, plus on le lit et moins on le piétine

"La seule chose promise d’avance à l’échec, c’est celle que l’on ne tente pas". Paul-Emile Victor

Le jour, il est journaliste au magazine Viva. La nuit, il tricote des rêves. Entre les deux, il soulève les montagnes. Il s’appelle François Fillon, mais son ambition n’a rien à voir avec celle du Premier ministre. Il se bat pour que les plus démunis retrouvent leur dignité. Ses yeux et ses neurones pétillent pendant qu’il parle de Macadam.

C’était le premier journal francophone de rue, il aidait les gens à s’en sortir. Petit à petit, d’autres ont suivi. Puis disparu, les uns derrière les autres. Certains n’arrivaient pas à équilibrer leurs comptes, d’autres perdaient de l’argent. D’autres encore se sont fait la malle avec l’argent des plus démunis. Il en reste un, à Paris. Pourtant les gens qui vivent en dessous du seuil de pauvreté ou qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois sont de plus en plus nombreux.

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