Les ouvriers de l’usine occupée de Gémenos ont reçu la visite d’un industriel qui pourrait rouvrir le carnet de commandes de l’usine fermée en 2010.
Après onze mois sans salaire et l’annulation d’un troisième plan social, les « Fralib » ont des raisons d’espérer. Pour la première fois en trois ans de lutte, le groupe multinational a accepté de discuter des conditions d’une reprise de l’activité par les ouvriers. Mais surtout, l’usine intéresse des industriels du secteur.