Le positionnement par rapport à la vente en grandes surfaces est la fracture entre les grands acteurs du commerce équitable. Certes pour vendre plus, on utilise les enseignes de grandes distributions, mais on accepte les règles difficiles de la grande distribution.
On les refuse et on vend à plus petites échelles.

Débat toujours aussi passionnant et passionné pour qui a déjà assisté à celui ci entre deux représentants de ces positions...

Cet article paru dans le quotidien " Le Monde " nous conforte dans l’idée que le commerce équitable ne cesse de prendre de l’ampleur.

Néanmoins, recentrons le débat : La grande distribution tente d’apporter une réponse à ce marché porteur, mais qu’elles sont ses réelles motivations ? Elle suit un créneau rentable afin de redorer son blason ou bien elle agit grà¢ce à de réelles convictions ?

Il y a là , à mon sens, un réel risque de ternir les principes forts du commerce équitable. Il convient de se poser les bonnes questions des engagements de ces grands groupes de la distribution sur les conditions de travail des producteurs et de leurs rémunérations. De même, une fois ce partenariat établit, le reste-t-il au long terme ?

Michel Edouard Leclerc s’engage pour le développement durable. http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=23740
Comme l’illustre un article d’Agora Vox, gardons bien à l’esprit les externalités négatives qu’émet une grande surface… Monsieur Leclerc, nous sommes toute ouà¯e !