Elle est parfois considérée comme marginale, et rassemble parfois les mêmes acteurs. Souvent, elle est localisée dans des endroits prédéfinis, comme les hôtels d’activité Artis, ou la rue Très-Cloitres à Grenoble. Mais l’Economie sociale et solidaire (ESS) prend de l’ampleur et est aidée par la Métro.
« Le terreau est très fort sur la métropole, qui est un facilitateur » commence Christophe Ferrari, président de la Métropole. Sur la région grenobloise, l’ESS représente 10 % des entreprises et 10 % des salariés (soit 20 000).
Le président, accompagné de Jérôme Rubes, vice-président en charge de l’emploi, de l’insertion, et de l’ESS a organisé une seconde conférence dédiée, rassemblant de nombreux acteurs et partenaires. Cette rencontre du 5 février, marquait la fin d’une concertation qui a conduit à l’élaboration du nouveau plan de développement économique portant sur cinq filières, (alimentation - consommation responsable, réemploi, mobilités habitat et environnement, et énergie) et quatre axes prioritaires : l’entrepreneuriat et développement économique, la communication et la promotion, les ressources humaines, l’animation et la gouvernance territoriale.