La sensibilité à l’écologie dépendrait du taux de testostérone et d’œstrogènes. En tout cas, plusieurs enquêtes montrent que la femme est plus soucieuse de l’environnement et des générations futures. L’avenir de la Terre se conjuguera-t-il au féminin ?
Les hommes chassent le bison, les femmes épouillent la descendance tout en zieutant le feu. Depuis le néolithique, la répartition des tâches est plutôt solidement ancrée dans le semainier. Appliquée à l’écologie, ça donne : môssieur part à l’assaut de technologies innovantes tandis que mâdame tente de préserver l’existant tout en recréant du lien social.
L’écologie dépend-elle du taux de testostérone et d’œstrogènes ? Choyer la planète et les générations futures dépend-il d’attributs féminins ou masculins ? Avouez-le, une petite loupiote s’est allumée en vous et chuchote : « L’écologie est féminine. » Si le doute subsiste encore sur le sexe des anges, les choses semblent beaucoup plus simples en matière d’écologie.