Malgré le développement de la crise du capitalisme dans sa phase turbocapitaliste, le bonapartisme néolibéral accélère le processus de marchandisation et de privatisation du secteur de la santé et de la protection générale en général. On peut même dire que le déclenchement de cette gigantesque crise bancaire et financière qui est en train de se transformer en crise économique et sociale a engagé les forces du bonapartisme néolibéral a décidé cette accélération. Les secteurs de l’éducation et de la protection sociale qui sont privatisés sont des éléments de stabilité pour les capitalistes pour garder des profits élevés grâce au processus de privatisation des profits et de socialisation des pertes que connaissent ces secteurs.
Dans la crise du capitalisme, que faire ? Appel pour une campagne d’éducation populaire au plus près des assurés sociaux
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