Censurer les arts de la rue : un mauvais coup à porter au vivre ensemble

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Censurer les arts de la rue : un mauvais coup à porter au vivre ensemble

Alors que l’état d’urgence a été prolongé une quatrième fois cet été, les manifestations d’arts de la rue font face à des exigences de sécurisation de plus en plus contraignantes. Malmenés, déplacés, redimensionnés, voire annulés, les spectacles dans l’espace public portent pourtant la capacité à ré-enchanter l’espace public aujourd’hui.

Depuis l’automne dernier, des actes terroristes ont frappé plusieurs fois dans l’espace public.

La gravité de cette situation historique conduit à une sur-sécurisation et à une forme de privatisation sécuritaire de l’espace public, contraire à sa nature de bien public et d’espace de partage par excellence entre les citoyens et les citoyennes.

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