Censurer les arts de la rue : un mauvais coup à porter au vivre ensemble

Publié le

Censurer les arts de la rue : un mauvais coup à porter au vivre ensemble

Alors que l’état d’urgence a été prolongé une quatrième fois cet été, les manifestations d’arts de la rue font face à des exigences de sécurisation de plus en plus contraignantes. Malmenés, déplacés, redimensionnés, voire annulés, les spectacles dans l’espace public portent pourtant la capacité à ré-enchanter l’espace public aujourd’hui.

Depuis l’automne dernier, des actes terroristes ont frappé plusieurs fois dans l’espace public.

La gravité de cette situation historique conduit à une sur-sécurisation et à une forme de privatisation sécuritaire de l’espace public, contraire à sa nature de bien public et d’espace de partage par excellence entre les citoyens et les citoyennes.

Source : La suite de l’article...

Autres articles dans cette rubrique

Festival du Printemps des services publics

Le collectif Nos services publics, aux côtés d’une large coalition d’associations, syndicats, ONG, lance ce jeudi 3 avril une grande campagne/festival qui se tiendra d’avril à juin : le Printemps des...

Un rapport accablant sur le Pass Culture, les 5 chiffres clés à retenir

Après la majorité des professionnelles et professionnels du secteur, c’est au tour de la Cour des Comptes d’étriller la part individuelle du Pass Culture, chiffres à l’appui. Le Gouvernement, le...

Le spectacle vivant sous tension : le Syndeac au Congrès des Maires

Pour la deuxième année consécutive, le Syndeac est intervenu lors du Congrès des maires de France. Deux sujets au programme : les enjeux budgétaires et les problématiques croissantes liées aux libertés...

close