Et pourtant, quelle énergie déployée ! Pendant ce temps-là, nous ne luttons pas contre le sida.
3 mois « d’enquête », mais des rapports lus entre les lignes, voire pas lus du tout, des informations non vérifiées, un entretien téléphonique avec AIDES à 3 heures du bouclage pour toute prise de contact.
Résumons un peu :
Un rapport confidentiel… qui est connu des représentants du personnel et du Conseil d’Administration depuis des mois.
Le salarié interviewé est en conflit avec l’association (ça arrive), peut-être est-ce cela qui lui a fait omettre de parler de l’augmentation régulière de son salaire (40% sur 5 ans)…
Puisque Le Parisien semble fâché avec les chiffres, précisons également - pour qui prendrait la peine de vérifier - que nos frais de structure ne sont que de 17%.
Non, nous ne rémunérons pas le Président d’honneur. Christian Saout est fonctionnaire !
Un appartement de fonction ? Bonjour le scandale ! Un studio à Pantin… bien moins cher que 15 nuits d’hôtel par mois.
Le salaire du DG ? Dans la fourchette – certes haute – des ONG de 50 à 500 salariés . 450 salariés pour AIDES. Là aussi, Vincent Pelletier avait donné le montant de son salaire (fixé par les élus bénévoles de AIDES) à la radio il y a des mois… Bonjour le scoop !