Au surlendemain des élections régionales, le premier ministre François Fillon a annoncé le report "sine die" de l’une des réformes qui est devenue subitement un facteur de division dans le camp de la droite : la taxe carbone.
Cependant, "le gouvernement mettra en oeuvre la taxe carbone, qui constitue un engagement du Grenelle de l’environnement", et demandera à la Commission européenne "d’accélérer la mise au point d’une proposition en vue d’une harmonisation des dispositifs de fiscalité écologique dans l’Union européenne" a affirmé F. Fillon.