Une des revendications des acteurs de l’ESS durant la campagne électorale plaidait pour le maintien d’une politique de soutien en faveur de l’ESS rattachée au ministère de l’Economie, comme en 2012, avec la nomination de Benoît Hamon aux fonctions de ministre délégué à l’Economie Sociale et Solidaire rattaché au ministre de l’Economie, des Finances et du Commerce extérieur.
Le programme en faveur de l’ESS du candidat Emmanuel Macron, structuré autour de 4 objectifs ( libérer l’énergie des entreprises de l’ESS, avec un Social Business Act qui regroupe toutes les mesures fiscales, réglementaires et législatives ; encourager l’innovation sociale, notamment avec un accélérateur national d’innovation sociale doté de moyens importants ; soutenir le modèle associatif et enfin encourager la finance solidaire.) semblait, sur ce point au moins, garantir une certaine stabilité.