Les entreprises participatives, qui tiennent leur sommet mondial jusqu’à demain à Québec, offrent un remède à la crise financière et économique car elles font « de l’humain l’élément central ». Pauline Green, présidente de l’Alliance internationale des coopératives, y croit dur comme fer.
Un secteur économique en bonne santé ? La nouvelle est si peu courante que les représentants du mouvement coopératif, en sommet à Québec depuis ce lundi, le clament haut et fort. Les chiffres clés 2013 du secteur, que nous dévoilons ci-contre, le prouvent, tout comme l’intérêt récent de l’ONU et du G20 pour les remèdes à la crise fournis par cet entrepreneuriat fondé sur la démocratie et l’humain. Pauline Green, présidente de l’Alliance internationale des coopératives (ICA), parle d’un tournant dans l’histoire de ce mouvement.