De bonnes heures que ces premiers jours de l’an, une quasi parenthèse signant la trêve qui n’est pas sans faciliter l’expression des vœux de bonheur. Des mots échangés, souvent rapidement, de peur de s’attarder ; le bonheur est si fragile que la tentation est de ne pas le préciser de crainte de s’approcher de l’éclipse qui viendrait l’assombrir. Le flou entretient la grâce du moment. Les vœux demeurent des liens traduisant des relations, parfois incertaines, mais qui, nommées, font naître une humanité (...)
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